*Quelle délicieuse chose qu’un être soit créé pour le bonheur d’un autre ... Henrik Ibsen*
Que tout être qui pris, le temps de s'arrêter
Pour dénouer le cri, d'une gorge nouée
Reçoive à l'infini
Que tout être qui fit, s'envoler les deux mains
D'une âme tourmentée, essuyer le chagrin
Reçoive à l'infini
Pour dénouer le cri, d'une gorge nouée
Reçoive à l'infini
Que tout être qui fit, s'envoler les deux mains
D'une âme tourmentée, essuyer le chagrin
Reçoive à l'infini
Que tout être qui vit, d'harmoniser l'esprit
Sans craindre le défi, d'y perdre l'énergie
Reçoive à l'infini
Que tout être qui lit, de son intériorité
Des lèvres d'une poésie, la transparence cachée
Reçoive à l'infini
Et Vous les Poètes de l'Auberge
Sans craindre le défi, d'y perdre l'énergie
Reçoive à l'infini
Que tout être qui lit, de son intériorité
Des lèvres d'une poésie, la transparence cachée
Reçoive à l'infini
Et Vous les Poètes de l'Auberge
C'est à vous que j'écris
Candide de sensibilité
Merci à l'infini
Paule
Mon site de poésie l'Auberge des Poètes
au plaisir de vous y accueillir
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