L'Auberge des Poètes

Ô Idyllique aurore d'une orgie de lumière      
S'éclaire notre chaumière de la bûche au sapin  
On croirait que Rimbaud dans sa fougue incendiaire
Est descendu du ciel de son rêve au matin

On croirait que l'Enfant aux semelles de vent
Des lueurs des bougies Petit poucet rêveur
A trouvé aux secrets qui unissaient nos coeurs
Les confidences intimes d'un fraternel serment

Miracle souverain d'âme et de Poésie
Ravive en nous et lie Ô Céleste Génie
Où s'admire un Poète Roy Bohème du temps

Bleuité sortilège ton encre Rimbaldienne
A poudroyé l'Auberge d'une neige Arthurienne
Et qui relativiserait pareil instant  ?

Paule
23 Décembre 2022

Mon site de Poésie : 

https://aubergedespoetes.forumactif.com/t2351-l-auberge-des-poetes-defi-poetique-de-decembre

Merveilleux Noël Chères Lectrices et Chers Lecteurs 

Vivre pour vivre

Au champ de blé s'endort, l'arôme du levain
Alors qu'en cette extase, née la fin des moussons
Le crépuscule verse, en brumes lie de vin
L'apaisement des doigts, sur les fleurs en coton

Ô liberté d'aimer, constellation des cieux
Sentimentale étoile, de la couronne australe
La mystérieuse nuit, va élever les yeux
De ceux qui ont rêvé, à ton aura astrale

Descend les enflammer, lueur providentielle
Eclipse or et feu, aux noces sensorielles
Unit leurs destinées, d'un terrestre baiser

Amour, commence à observer ta langoureuse
Lorsque l'aube viendra, déployer les volets
Les mimosas explosent, la nature amoureuse

Paule
20.01.2019

version modifiée le 26.01.2019
lignes 9,11
12 , 13 et 14

*

Par respect pour les lecteurs ayant déjà commenté ce sonnet dans sa première version
 je n'apporte aucune modification sur les trois sites où je l'ai déjà publié

*

Pour l'Amour d'un Monarque

Ma première peinture

Pour une seule nuit, lorsque tes deux mains s'aiment

L'amour n'a point d'âge ; il est toujours naissant. - Une citation de Blaise Pascal.

Amour ...

Il y a sur cette terre des gens qui s'entretuent : c'est pas gai, je sais. Il y a aussi des gens qui s'entrevivent. J'irai les rejoindre

 Jacques Prévert

 

Aquarelle 

 7 novembre 2020

Lady Chatterley et le jardinier

J'arrivais en retard, les yeux vers sa femelle
Le paon me démontrait, comme il était fâché
Sur la danse du foin, une paonne en dentelles
Gloussait devant son torse, qu'elle avait déplumé

J'ai souri au passé, de la fête à la roue 
La grenouille écroulée, dans la gadoue pleurait 
Un nénuphar en larmes, lui caressa la joue
Des illusions perdues, ivre de volupté 

Ruisselant décidé, à voler la jupette
Du plus joli visage, de la beauté du parc 
Je vis couler deux jambes, derrière une brouette
L'ombre du jardinier, un cupidon de l'arc

Tous les oiseaux du lieu, dormaient dans la volière
L'âne et le chien heureux, ne pensaient plus à rien
Derrière mes lunettes, se jouait la lumière
D'un concerto coquin, en l'air épicurien

Quand s'achève l'été, où l'escabeau se plie
Et que l'automne arrive, avide d'un baiser 
Le jardinier malin, entre ses doigts déplie 
Ses mains sur un bouquet, pour Lady Chatterley

Paule

18.08.2018

Défi poétique en 20  mots imposés thème: une histoire drôle 

http://www.creapoemes.com/index.php?threads/tendres-pens%C3%A9es-%C3%A0-lys.340028/

L'automne de tous les secrets

 

Candides, elle t'ont écrit leur secret le plus tendre

Mes deux danseuses étoiles pour te bercer d'amour

De leur pudeur d'aimer que la pluie sait entendre

Du souvenir de Toi la source de l'amour

Elles ont écrit les doigts tremblants de peine

Que même au plus jamais elles t'embrasseront

Et les yeux embrumés du courage des veines

Que c'est triste la mort mais qu'elles te reverront

Quand la mer tourmentée cherchera son pêcheur

Que la colline en pleurs suppliera le bonheur

De refleurir le thym, parce que c'est beau la vie

Elles ont écrit, de ton courage, Homme d'honneur

Que nous sommes en deuil et glacé jusqu'au coeur

Mais qu'un bébé va naître et que c'est beau la vie

Hommage à mon Père chéri

Décédé le 19 août 2020

Paule

7 novembre 2021

Le temps de l'écriture se situe où la douleur amnésie ses souffrances dans l'encre

Le temps de la publication où les blessures saignent du coeur jusqu'aux doigts

Derrière l'écran c'est un coeur qui bat Ô les Poètes ne l'oubliez jamais.

Cette nuit est si triste mon Papa Chéri

Ce soir la lune est pale

Mon âme court te voir 

Sur la pierre tombale

Du cimetière noir

Le silence est austère

J'agonise sans fin

Ne plus te voir mon père

M'étouffe de chagrin

Je divague d'esprit

Face à l'inacceptable

Toi seul est admirable

Le coeur ensevelit

Tout le ciel je supplie

Où la mort tue la vie

Paule

21 octobre 2020

Hymne à l'Amour

18... Hymne à l'amour

S'éveille l'aube silencieuse
Pareilles aux heures délicieuses 
Qui ont créé le firmament 
De cet Amour au septième ciel
Sur ce matin un arc-en-ciel
Rend le soleil plus éclatant

Sa chaleur emporte les neiges
Vers un extasiant sortilège
En la cascade dort un torrent 
Un maestro voit sa musique
Une soprano angélique
Embrasser son enchantement

Au miroir de l'aura magique 

Où se rejoignent les mystiques
Entre les mains du plus art
Qui éclairent les magnétiques
La nature charismatique 

Fleurissant l'eau d'un nénuphar
********

http://www.creapoemes.com/index.php?threads/ode-%C3%A0-lamour-du-14-au-24-f%C3%A9vrier-2017.298572/

La désobéïsance aime les défis

La Désobéissance aime les défis.

Le cœur en sueur prends moi j'ai l'âme émotive
Lorsque la vigne effleure le plaisir vendangeur
Servant de tous ses grains sa vendange tardive
Belle de jour jusqu'au matin de son vainqueur

Octobre bleu crois-moi c'est l'heure récréative
Dis-moi que tu aimes que je m'en tête de toi
Sur l'épopée héroïque de chacun de tes doigts
Que lovent mes tanins ta bouche créative

Sacre mes reins de chevalière de ta Luxure
Qu'un été indien me couvre de ta chevelure
Où mes cambrures ne savent refuser tes mains

Viens de tes sens couronner mon front, Démon
Je t'oublierai, tu le sais, je suis une immature
Sauf si l'essor de ton corps rugit de mon prénom

 Paule

https://aubergedespoetes.forumactif.com/forum

Merci à mes précieux donneurs de sang

Ce matin une épine au jardin

M'a piqué la main, et soudain

J'ai repensé à vous

Vous les donneurs de sang

Mon sang partait en torrents

Mais, qui étiez-vous, vous

Vous qui donniez pour nous

Je n'entendais plus rien

Mais où étaient les miens

Je voyais des yeux bleus

Lumières blanches bleues

Je sentais une main

Qui me serrait la main

Personne ne me disait rien

De çà je me souviens

J'avais tant de courage

Le temps était à l'orage

Vous les donneurs de sang

Je pense à vous si souvent

Que serions-nous devenues

Sans vous précieux inconnus

Un vingt huit octobre
Qu'auriez-vous fait

Si vous n'aviez  arrêté

Le cours de vos vies

Pour que je donne la vie

Je ne vous connais pas

Je ne vous oublie pas

Paule
Ecrit en 2014

Eclats de vers

Et si tu penses amour

Que notre histoire n'a pas vécu 

Je te dirais toujours

Que l'amour se nourrit d'inconnu 

Il vit dans un temps absolu 

Et si je pleure un jour

Tu me diras que tout recommence

Dans chaque fin d'amour

La vie offre une nouvelle chance

L'amour est fait de braises et de silence 

Quand mon souvenir viendra te frôler

Parce qu'un regard ne s'oublie pas 

Je voudrais que le vent sache te murmurer 

Comme je t'aimais incontrôlablement 

Consciente que l'irrationnel c'était tes bras 

D'une nuance unique je voudrais être l'éclat 

Mais qui de nous saura ce qui ne s'efface pas 

Parfois je voudrais ne jamais t'avoir connu

Parce que tu as mis mon coeur à nu 

Sur les marches de l'Opéra

Et ce serait me renier si je ne l'écrivais pas

My Love

Paule

Octobre à l'encre de Toi

L'absence a étoilé, de nos yeux les mémoires

Pour chasser l'inquiétude, d'une seule attraction

Vers un exil de glace, car s'effleure l'histoire

Des auras imprégnées, des mêmes vibrations

Les soirs de pleine lune, sur le soleil couchant

L'ocre de Roussillon, glane ton cou d'athlète

Et le bout de ma plume, tes courbes aguichant

Le doux frémissement, où s'admire un Poète

C'est l'astrale fusion, de l'encre et des tanins

En tremblent les plissures, se touchent nos destins

Dans l'ondée d'un sourire, nos encriers sont rouges

D'une éclipse totale, minuit porte bonheur

La coulée de nos vers, l'apaisement des cœurs

L'ivresse qui délivre, tous les octobre rouge

Paule

19 octobre 2019

Par Amour

 Allume les chandeliers

  Tu m'appartiens en rêve
Sublime est cet instant
Qui mène à cette trêve

                   Le lit sent ton odeur                    

Les draps vont se froisser

Mon Amour jusqu'au coeur

Nos doigts vont s'enlacer

d'un ravissement

Où nos corps languissants

S'avouent  l'éternité

De s'être désirés

Sous le ciel étoilé

Du baldaquin en fleurs

La nuit vient de tomber

Aux confins du bonheur

De notre intimité

Paule

La Bohémienne de la Poésie et Alfred de Musset

Ce matin quand j'ai ouvert la porte du jardin

L'épopée  des nuages te déferlait mirage

J'ai cru que je songeais aux creux de mes coussins

Pourtant j'étais pieds nus attirée par l'orage

J'avançais sans parler essor d'octobre bleu

Sur les herbes mouillées les odeurs de la terre

Belle de jour des cieux me soulevaient parbleu

Comme une chevalière de Cartier la panthère

Dis-moi que tu me crois je t'oublierai veux tu

Sur les grenades rouges qui restent suspendues

Attendant que mes mains quittent la Poésie

Oui mon esprit peut tout tout sur ta rêverie

Les vendanges tardives nous rappellent à la vie

Mon bel été indien Mon Alfred de Musset

Paule

4 octobre 2022

https://aubergedespoetes.forumactif.com/

Ce qu'on ne vit qu'une fois

                 Quand se lève le jour, les concerts d'univers                   

Vers la tendre atmosphère, incantent les mystiques

Par l'éclair qui annonce, aux vapeurs les éthers

C'est la fin de l'hiver, Aura charismatique

De l'ombre à la lumière, la grâce de l'abstrait

  Ruisselle de candeur, où balbutie l'orage  
Coule la foudre rouge, un solaire portrait

D'une émotive teinte, Créature sauvage

Se pare le silence, de l'instant délicieux

La nature est un temple, l'a écrit Baudelaire

Je ne vois que tes yeux, transparence des cieux

Chaque rose des sables, vient d'étoiler mes vers  
Shérazade des nuits, magnifiées de mystère

Je n'ai vu qu'une fois, refleurir le désert

Paule

27 février 2020

http://www.oasisdesartistes.org/modules/newbbex/viewtopic.php?topic_id=262520&forum=2

Ave Maman Chérie

Aux souvenirs d'hier, j'ai rêvé un matin   

Et mon âme d'enfant,  te croise d'un Ave

Sur les coussins en fleurs, Ô n'ai plus de chagrin 

Ave Maman Chérie, t'embrasser j'ai rêvé  

Lovée contre ton coeur, ma Maman héroïque

Au bonheur empirique,  de ton Amour serein

      J'ai rêvé de ta joue, de ton parfum unique      

Et de guérir ton mal, aux creux de mes deux mains

La maladie a mis, dans un ravin ta vie

Chacun de tes enfants, en porte l'agonie

Tu ne le sauras pas, Ô ma Maman Chérie

Qu'il n'est pas un matin, où me manque ta voix

Et comme en plein soleil, même en été j'ai froid

Mes yeux sont délavés, du combat que tu vis

Paule

19 juin 2020

Le temps de l'écriture se situe , où l'inconscient  amnésie ses blessures ,  pour mieux supporter la souffrance , celui de la publication d'instinct , l'instant où le coeur saigne.

Mes parents chéris m'ont aimé d'Amour inconditionnel, j'ai eu cette immense chance qui m'a accompagné tout au long de ma vie,  je suis une enfant de l'Amour, je ne sais qu'aimer, ne m'égratignez pas,  je sais lècher mes plaies.

Le chef d'oeuvre de ma vie, ceux ne sont ni mes textes ni mes petits dessins, c'est le visage de ma fille , celui dont j'ai rêvé pendant neuf mois,  c'est Elle ma plus belle Poésie

L'inspiration papillonne

 L'inspiration papillonne

L'âme de la forêt, raconte,  que , d'aventure

Des Poètes essoufflés, vécurent l'illusion      

De voir une Masure,  entourée de verdure   

Leur coeur se souleva, devant la tentation

A ne trouver la clé, menant vers l'intérieur

D'interroger l'ensemble,  l'idée leur vint soudain

Y a t 'il un serrurier, lança un ton rieur

      J'aperçois une table, nous trinquerons de vin         

La belle promenade,  a assoiffé ma gorge

      J'ai cru voir un placard , un tiroir à la forge       

Ma mémoire s'enflamme, d'un Poème à minuit 

Ma ville et son trottoir, peuvent guetter l'aurore

    Mon voyage est ici, la promesse s'honore   

Soulevez-nous la porte, les papillons de nuit

Paule

11 Septembre 2022

Hum, Humour, Paris , Paris

 

Prends le métro pour une tarte

Et écris-moi si tu m'y vois

Les yeux dégoulinant de tarte

Devant Fauchon entre tes doigts

Traverse le Boulevard Haussmann

Mes mains aux tanins de tes bras  

 Emporte-moi, tu es mon Man

Jazz endiablé,  de mes ébats

Laisse au poinçonneur des Lilas

Sur les tickets de tout Paname

Des vers  s'aimer à Notre Dame

Je te ferai une couronne

Des feuilles rouges de l'Automne

Sur les marches de l'Opéra

Paule

10 Septembre 2022

A mes Lectrices d'Italie, le berceau de l'Art

 

Qui vous fait oublier mes pages 

 Ô mes Lectrices d'Italie       

     Quel gondolier, Don Juan et Mage        

Vous berce,  de sa Poésie

Qui caresse votre visage

Et vous fascine, mes Enjôleuses

Que vous sert un meilleur breuvage

Que mes absinthes  amoureuses

Pour vous charmer, du plus bel Art

Qui vous présente ses hommages

           Et vous bouleverse,  âme sans fard            

Qui vous honore,  de ses vers

Et lève les plus beaux concerts

Femmes vêtues,  d'un seul regard 

Paule

10 Septembre 2022

L'Or bleu d'une Prose

 

Tout l'Or bleu d'une Prose

Ancien lavoir dormant, tout au fond du jardin
Illusion du passé , Masure en pierre rouge
Qu'ont soufflé les promesses, aux tiroirs qui t'ont peint
Pour qu'après tant des années, j'en goûte le fruit rouge

Lorsqu'au matin pieds nus, j'entre dans ta lumière
S'effacent les trottoirs, sous les mousses cachées
Au fond de tes placards, mon Amour de verrière
Tu deviens le voyage, que j'ai toujours cherché

Il pleut sur la terrasse, et s'endort un ciel rose
Ô mauve crépuscule, la nuit vient d'arriver
De la Vallée des roses, à la Vallée des Roys

Se berce ma mémoire, s'allument les bougeoirs
L'eau des cieux tendrement, s'enlace à un Renoir
De l'aurore à venir, tout l'or bleu d'une Prose

Paule
8 septembre 2022

https://aubergedespoetes.forumactif.com/

Hommage à la mémoire des victimes du 11 septembre 2001

L'instant vole en éclats
Vers cet horrible jour 
Qui ne se souvient pas
De l'explosion des tours

Deux avions en acier
Visant l'effondrement 
Devant le monde entier
Manhattan éventrant

L'horreur sur nos écrans 
Nuages de poussière
Du nombre des mourants
Sous le feu en prières 

Au secours des blessés
En larme la lumière
Dans un ciel en fumée
Les croix d'un cimetière

Des familles endeuillées
Au nom du fanatisme
Des vies assassinées
L'horreur du terrorisme

Sous les sirènes hurlant
Les corps déchiquetés 
A ce mois si sanglant
N'avez vous imploré

Qu'il y ai des rescapés
A ces 2977 morts
Comme Brian et Stanley
S'échappant de la mort

Paule

14.09.2018

https://www.ouest-france.fr/monde/e...mbre-brian-clark-raconte-son-calvaire-4463886
​

Le jardinier d'amour Rabindranath Tagore

RABINDRANATH TAGORE

(1861-1941)

NOS MAINS S'ENLACENT...

Nos mains s'enlacent, nos yeux se cherchent. Ainsi commence l'histoire de nos coeurs.

C'est une nuit de mars éclairée par la lune ; l'exquise odeur du henné flotte dans l'air ; ma flûte est à terre abandonnée et la guirlande de fleurs est inachevée.

Cet amour entre toi et moi est simple comme une chanson.

Ton voile couleur de safran enivre mes yeux.

La couronne de jasmin que tu me tresses réjouit mon coeur comme une louange.

C'est un jeu alterné de dons et de refus, d'aveux et de mystères ; de sourires et de timidités, de douces luttes inutiles.

Cet amour entre toi et moi est simple comme une chanson.

Nul mystère au-delà du présent ; nulle aspiration vers l'impossible ; pur enchantement ; nul tâtonnement dans la profondeur de l'ombre.

Cet amour entre toi et moi est simple comme une chanson.

Nous ne nous égarons pas, hors des paroles, dans le silence éternel. Nous ne tendons pas nos mains vers le néant des espoirs impossibles.

Il nous suffit de donner et de recevoir.

Nous n'avons pas écrasé les grappes de la jouissance jusqu'à en exprimer le vin de la douleur.

Cet amour entre toi et moi est simple comme une chanson.

(Le Jardinier d'amour. Éd. Gallimard, 1963)

Traduit de l'anglais par H. Mirabaud-Thorens

J'avais 14 ans quand j'ai lu cette prose pour la première fois, Elle est émotionnellement mon éveil à la Poésie, il y a onze ans j'ai commencé à écrire ... La Poésie n'avait pas besoin de moi, mais moi , j'avais besoin d'Elle, notre rencontre fût merveilleuse

Prenez soin de Vous Chères Lectrices et Chers Lecteurs

Je vous remercie de vos lectures

Affectueusement

Paule