mardi 30 août 2022

Hommage à la mémoire de Lady Diana






Les berges se souviennent
D'un trente août sur les quais
Dans la nuit aoûtienne
Deux corps qui se mouraient

Sur la tôle froissant 
Le bruit de la musique
La mort buvait le sang
De deux destins tragiques

J'entends couler de l'eau
Des voix tristes en sanglots
Qui parlent d'une Lady
Dont s'est tu le sourire 

Mon âme se déchire
Le bruit de la rue cesse
Je pleure ma Princesse
Sous le Pont de l'Alma
Le monde entier aussi

Paule
 Ecrit le 31.08.2018







Diana Spencer


née le 1er juillet 1961 à Sandringham Royaume-Uni
Décédée le 31 août 1997 à 4 heures 25 du matin à l'Hôpital de la Salpétrière Paris

lundi 29 août 2022

L'Oiseau bleu et Samsara






 

Mon Arthur, Mon Momo

Quand l'absence fiévreuse, me divaguait la plume,
Aux arbres centenaires , j'allais cacher mes maux,
Me consolaient les eaux, se dissipaient mes brumes
Je trouvais ton écho, dans le Parc des Oiseaux

Rêveuse âme solaire, s'amourait le silence
Du coeur de ta forêt, où chuchotait la vie
Présence désirée, murmurant la vibrance
L'aisance de tes vers, répandant l'harmonie

De ces instants gracieux, émerveillant l'envie
Mon Arthur, Mon Momo, Je t'ai vu bel Oiseau
Déployer tes deux ailes, Poètes aux yeux d'émaux

Vers la Meuse amoureuse, comme jadis Rimbaud
Dans les yeux d'une Muse, Epris de Griserie
Pour l'absinthe aux yeux verts, ivre de Poésie

Paule
28 juin 2021

Quand l'absence fiévreuse, me divaguait la plume,
Aux arbres centenaires , j'allais cacher mes maux,
Me consolaient les eaux, se dissipaient la brume
Rêveuse âme solaire, dans le Parc des Oiseaux

Je trouvais ton écho, savourant le silence
Au coeur de ta forêt, où chuchotait la vie
Présence désirée, sublimant la vibrance
L'aisance de tes vers, répandant l'harmonie

De ces instants de grâce, dont l'esprit balbutie
J'ai revu les cent ciels, Je t'ai vu bel Oiseau
Effleurant l'herbe verte, comme avant toi Rimbaud

D'un deuxième printemps, Poète aux yeux d'émaux
Déployer tous les vents, inclinant les roseaux
Des iris de La Meuse, Ivre de flânerie


Paule 28 juin 2021










samedi 27 août 2022

Poète mon Amour








 Gouache du 21 juillet 2019
Lorsque tes yeux se mouillent , d'un regard attendri
Aux bouts de tes vacarmes, apparaît la tendresse
Pour essuyer tes mains, de tout ce qui meurtri
Et estomper tes pluies, du baume des Déesses

Parce que tu es Poète, dès que revient la nuit
Te transperce le froid, aux désirs de la glace
Alors q'une illusion, te soulève sans bruit
Du terrestre au céleste, en ses ailes fugaces

Absinthe de tes vers, entre ciel et éther
Un papillon de nuit, de tempête et de brume
Qu'un soir tu as rêvé, Chrysalide de Plume

Evanescent bonheur, où palpite la chair
Lueurs aphrodisiaques, aux reflets de ton âme
Ta sensibilité, contre son corps de Femme

Paule
9 Mai 2019







lundi 8 août 2022

Le silence d'amour






Serais-ce un autre amour
Que murmure le vent
Ou le fantôme de notre amour
Que ce soir j'entends

Quand les arbres la nuit
Ne sont plus que des ombres
Le passé sans un bruit
Me revient en pénombre
Ton souvenir flotte partout
Et son parfum se faufile
De mon coeur à mon cou

Entre mes mains vacille
La photo d'un baiser
Que mon regard admire
S'éclairent mes pupilles
De revoir ton sourire
Que j'aimais embrasser

Alors jusqu'au petit jour
S'estampe l'été
Demain n'existe pas
Le silence me parle d'amour

Paule * septembre 2010 *






A tous ceux qui se sont séparés
Et dont le temps n'a jamais effacé l'Amour


L'Etoile bleue

  L'Etoile bleue Comme le vent que rien ne lasse Au sable doré des grands fonds De murmurer Ô M arée basse Nuit tubéreuse à mes chiffons...