Gouache du 21 juillet 2019
Lorsque tes yeux se mouillent , d'un regard attendri
Aux bouts de tes vacarmes, apparaît la tendresse
Pour essuyer tes mains, de tout ce qui meurtri
Et estomper tes pluies, du baume des Déesses
Parce que tu es Poète, dès que revient la nuit
Te transperce le froid, aux désirs de la glace
Alors q'une illusion, te soulève sans bruit
Du terrestre au céleste, en ses ailes fugaces
Absinthe de tes vers, entre ciel et éther
Un papillon de nuit, de tempête et de brume
Qu'un soir tu as rêvé, Chrysalide de Plume
Evanescent bonheur, où palpite la chair
Lueurs aphrodisiaques, aux reflets de ton âme
Ta sensibilité, contre son corps de Femme
Paule
9 Mai 2019
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