lundi 29 août 2022

L'Oiseau bleu et Samsara






 

Mon Arthur, Mon Momo

Quand l'absence fiévreuse, me divaguait la plume,
Aux arbres centenaires , j'allais cacher mes maux,
Me consolaient les eaux, se dissipaient mes brumes
Je trouvais ton écho, dans le Parc des Oiseaux

Rêveuse âme solaire, s'amourait le silence
Du coeur de ta forêt, où chuchotait la vie
Présence désirée, murmurant la vibrance
L'aisance de tes vers, répandant l'harmonie

De ces instants gracieux, émerveillant l'envie
Mon Arthur, Mon Momo, Je t'ai vu bel Oiseau
Déployer tes deux ailes, Poètes aux yeux d'émaux

Vers la Meuse amoureuse, comme jadis Rimbaud
Dans les yeux d'une Muse, Epris de Griserie
Pour l'absinthe aux yeux verts, ivre de Poésie

Paule
28 juin 2021

Quand l'absence fiévreuse, me divaguait la plume,
Aux arbres centenaires , j'allais cacher mes maux,
Me consolaient les eaux, se dissipaient la brume
Rêveuse âme solaire, dans le Parc des Oiseaux

Je trouvais ton écho, savourant le silence
Au coeur de ta forêt, où chuchotait la vie
Présence désirée, sublimant la vibrance
L'aisance de tes vers, répandant l'harmonie

De ces instants de grâce, dont l'esprit balbutie
J'ai revu les cent ciels, Je t'ai vu bel Oiseau
Effleurant l'herbe verte, comme avant toi Rimbaud

D'un deuxième printemps, Poète aux yeux d'émaux
Déployer tous les vents, inclinant les roseaux
Des iris de La Meuse, Ivre de flânerie


Paule 28 juin 2021










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