A la Samaritaine, un piano ne joue plus,
Et se brisent nos tasses, au silence qui tue,
Sur les reflets de l'eau, les barques du Vieux Port,
Nous chercheront toujours, où s'enlaçaient nos corps,
Un matin de janvier, tu as sauvé mon âme,
Où on m'avait tué, ma joie et mon bonheur
De l'odeur de ta peau, tu m'as couronné Femme,
De l'odeur de ta peau, ma joie et mon bonheur,
En plein été j'ai froid, j'ai le manque de Toi,
Des vagues du Pharo, à la grande jetée
Divaguent en nos baisers, les eaux du Petit Nice
Dès que j'entends Withney, s'ouvre en moi un empire
Celui où tu berçais, ma bouche d'un sourire
De la grande jetée au Palais du Pharo,
Divaguent en nos baisers, les eaux du Petit Nice.
Dès que j'entends Withney, s'ouvre en moi un empire,
Celui où tu berçais, ma bouche d'un sourire,
Je ne dois plus le faire, de repenser à toi,
Lorsque la nuit j'espère, de ton souffle la voix,
Mes battements de coeur, d'un ruisselant désir
Entendent encore courir, tes pas dans l'escalier,
Alors que mes je t'aime, exultent à la folie
Sur mes sens assoiffés, de tes pulsions l'envie,
En plein juillet j'apprends, que la mort t'a fauché,
Que plus jamais jamais, je ne te reverrai,
Maintenant je comprends, toute l'éternité,
Sur ton dernier Poème, s'est déchiré mon rêve,
D'un je t'aime à la craie, aux larmes de tes roses,
Agonise ma peine, Adieu mon Bel Amour.
Paule
26.07.2021
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