Mon regard papillonne, volupté immature,
Aux volcans liquoreux, des tanins de ton cou,
La lave sensitive, enlumine le doux,
Eurydice et Orphée, pigmentent un peinture,
Sensorielle drapée, câline et séduisante,
Où l'eau dissout le sel, qui figeait les cheveux,
Ton souvenir m'élève, au plus laiteux calice,
Phallique des satins, le mythe des fougueux.
Paule
Sonnet Libre
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